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Héros du quotidien : On a rencontré les étudiants de l'association RCVA
Nos championnes et champions de robotique !
Publié le 26 juillet 2019 – Mis à jour le 4 septembre 2019
Lauriane et Valentin nous expliquent le fonctionnement de l'association, depuis la construction des robots en passant par la communication, jusqu'aux exploits en compétition !
Point COMMUN : Bonjour et merci de répondre aux questions de Point COMMUN ! Pouvez-vous vous présenter et nous présenter votre parcours à l'Université Paris Nanterre ?
Lauriane et Valentin : Bonjour, nous sommes Lauriane et Valentin, étudiants en 2e année de DUT GEII (Génie Électrique et Informatique Industrielle) à l’IUT de Ville d’Avray. Nous faisons partie de l’association RCVA depuis septembre 2018. Lauriane occupe le rôle de chargée de communication, là où Valentin s’est occupé d’une des cartes électroniques du robot. Nous avons également travaillés sur la programmation des robots.
Vous faites partie de l'association RCVA : pouvez-vous nous présenter l'association, son historique, son principe, ses activités tout au long de l'année ?
RCVA est l’acronyme de Robot Concept Ville d’Avray. Il s’agit d’une association créée en 1998, dont l’objectif chaque année est la réalisation de deux robots collaboratifs pour participer à des compétitions de renommée internationale : les Coupes d’Ile de France, de France (anciennement Coupe E=M6 de Robotique) et d’Europe de Robotique (nommée aussi Eurobot). L’association a été 14 fois Championne d’Europe et 10 fois Championne de France sur les 20 dernières années. Cette compétition repose sur un principe simple : réaliser le plus de points possibles en 100 secondes. Ces points se gagnent en faisant des actions imposées par le règlement, qui change d’année en année. Le terrain sur lesquels les robots concourent est symétrique : ainsi, deux équipes s’y affrontent, ce qui fait qu’on peut avoir jusqu’à 4 robots en simultané sur le terrain. Ceux-ci sont totalement autonomes et ne doivent en aucun cas se percuter ou se toucher. Au cours de l’année, il faut tout d’abord établir la stratégie pour répondre aux exigences du règlement, qu’on obtient généralement fin septembre, et construire un terrain conforme au règlement sur lequel les robots vont s'entraîner pour préparer la compétition. Il faut ensuite imaginer la mécanique des deux robots, et choisir les capteurs et actionneurs que l’on va utiliser, pour concevoir les cartes électroniques nécessaires au bon fonctionnement des robots. Enfin, il faut bien évidemment assembler les robots, et les programmer, ce qui peut prendre un temps considérable : il faut leur apprendre chaque action, mais aussi les faire enchaîner toutes ces actions dans des ordres différents, et pouvoir changer le déroulement du match au plein milieu de celui-ci : on ne sait jamais comment l’adversaire va se comporter, et si on ne peut pas s’adapter, cela peut entièrement ruiner un match ! Les robots étant autonomes et ne devant pas percuter leurs adversaires, il faut également implémenter de nombreux capteurs pour détecter l’adversaire : ceux-ci peuvent être des LiDAR (laser rotatif permettant la détection de l’environnement), des capteurs infrarouges, ultrasons, ou encore des capteurs laser. La partie compliquée n’est pas tant de les mettre dans le robot, mais plutôt de réfléchir à comment les utiliser à bon escient et savoir comment interpréter ce qu’ils nous renvoient. Comme les robots peuvent être gênés par les robots adverses, ces capteurs permettent aux robots de les contourner, mais cela nécessite un travail de réflexion assez conséquent. En parallèle, nous communiquons sur les réseaux sociaux nos avancements, et dialoguons avec diverses instances et entreprises qui nous sponsorisent.
Vous faites partie d'un tissu associatif très développé à l'Université. Comment travaillez-vous en lien avec les autres associations du campus et le Service Général de l'Action Culturelle et de l'Animation du Campus en charge de l'accompagnement des associations étudiantes ?
Étant sur le campus de Ville d’Avray, il peut être parfois compliqué d'interagir avec les autres associations de l’Université, de par la distance géographique. Néanmoins, nous interagissons fréquemment avec ADVEVA 92, qui se trouve également à Ville d’Avray, pour des questions techniques ou du partage de connaissances. Également, le SGACAC nous a bien aidés en début d’année en nous proposant une formation sur la recherche de sponsors et de subventions et sur le bon fonctionnement d’une association ; cela nous a permis d’éviter de nombreux écueils cette année et de résoudre des problèmes qu’on n’aurait probablement pas su résoudre sinon.
Qu'est-ce que cela vous apporte personnellement de faire partie de cette association, au niveau des compétences mais également de votre expérience universitaire ?
En entrant dans cette association, on y apprend à travailler en équipe, se partager les tâches, et mettre en commun nos idées. On apprend énormément en mécanique, en électronique et en informatique : ce sont les trois composantes des robots, et comme l’on innove chaque année, on se retrouve en permanence confronté à des nouvelles technologies ou à des technologies que l’on ne connaissait pas. C’est aussi là qu’on apprend à gérer une association : il y a beaucoup de tâches moins techniques, comme la communication externe, la recherche de sponsors et de subventions, la trésorerie etc… On n’y pense pas forcément, mais c’est une expérience très formatrice. Également, ça change l’expérience universitaire : là où on se considérait comme de simples élèves à l’IUT avant, on se sent beaucoup plus intégrés dans l’Université en participant à cette aventure.
Quelle est votre plus belle expérience au sein de l'association ?
La plus belle expérience est sans doute de voir nos robots évoluer sur le terrain pendant les matchs de la coupe de France. C’est à ce moment que l’on réalise tout le travail que nous avons accompli durant l’année. La première fois que les robots roulent est assez magique également : comme on refait intégralement les robots chaque année, c’est toujours satisfaisant de les voir rouler pour la première fois !
Votre association, habituée des podiums et récompenses, a récemment remporté le magnifique titre de vainqueur de la Coupe Île de France de robotique ! Comment se déroulent ce genre de compétitions, combien de personnes de l'association y participent ? Combien de temps à l'avance devez-vous vous préparer pour ce type d'échéances ?
Les Coupes de France et d’Europe se déroulent généralement pendant le weekend de l'Ascension, à la Roche-sur-Yon. On y attend entre 150 et 200 équipes françaises, et une trentaine d’équipes étrangères. Chaque équipe compte entre un et une quinzaine de membres, ce qui fait facilement plus de 1000 participants ! La compétition commence par l’homologation statique : les robots doivent répondre à des critères précis en terme de taille, de périmètre etc… Une fois cette homologation statique validée, il faut également passer l’homologation dynamique : cela consiste à prouver que l’on sait réaliser des tâches prévues par le règlement, et qu’on sait également détecter un adversaire et ne pas le percuter, voire s’arrêter en urgence s’il apparaît devant nous. Les équipes homologuées participent ensuite aux phases de poule, où l’on réalise cinq matchs répartis sur cinq demi-journées. Les 16 meilleures équipes peuvent passer sur les phases finales, et les deux finalistes de la Coupe de France sont qualifiées pour Eurobot, la Coupe d’Europe, où le schéma est le même qu’en Coupe de France (phases de poule, puis phases finales pour les 16 meilleurs…). La Coupe d’Ile de France se déroule à l’Electrolab de Nanterre sur un weekend. Il n’y a que 14 équipes y participant, mais elle se déroule comme la Coupe de France : phases de poule, puis phases finales, où les huits meilleures équipes s’affrontent. L’équipe RCVA se déplace aux trois événements : on est à la Roche-sur-Yon du mercredi au dimanche de l’Ascension, et on y travaille d’arrache-pied pour que tout fonctionne. On est également à Nanterre les deux jours de la Coupe d’Ile de France. Il est fréquent d’entendre à la Coupe qu’il manquait une ou deux semaines pour que telle chose fonctionne, et même pour les équipes s’y étant pris dès la sortie du réglement. Il faut donc travailler sur le projet en permanence entre la sortie du réglement, soit fin septembre, et la compétition, qui se déroule en mai.
Est-ce que tout le monde peut rejoindre votre association ou est-ce qu'il y a des prérequis ? Est-ce que l'on peut vous suivre sur les réseaux sociaux ou venir vous soutenir en compétition ?
Non, il n’y a pas de pré-requis, sinon une grande motivation ! C’est toujours mieux d’avoir un attrait pour la robotique, puisqu’on ne parle presque de ça, et que tout ce qu’on fait orbite autour de la robotique. Mais contrairement à ce que l’on peut penser, il n’y a pas besoin d’être un génie en programmation ou en électronique pour nous rejoindre, ni même d’avoir de grandes connaissances en robotique. L’intérêt est qu’il y a toujours quelque chose à apprendre, et le partage de connaissances est une valeur très forte dans l’association. Pour être au courant de ce que nous faisons, on vous conseille de nous suivre sur nos réseaux sociaux : Twitter, Facebook, Instagram, et Youtube. On y publie des actualités, des photos, des vidéos, et tous nos résultats en compétition. De même, bien que la Roche-sur-Yon soit quelque peu éloignée de Nanterre, il est possible de venir nous y soutenir ! Mais le plus simple reste de venir nous voir à la Coupe d’Ile de France, qui se déroule en juin à l’Electrolab de Nanterre.
Une petite question que l'on aime bien dans les interviews Point COMMUN : qu'est ce que vous préférez à l'Université Paris Nanterre ? Un lieu que vous appréciez particulièrement sur votre campus de Ville d'Avray ?
Bien que nous soyions à Ville d’Avray, nous sommes allés quelques fois sur le campus de Nanterre. La MDE est un lieu très convivial que nous apprécions, et les espaces verts de l’Université sont une véritable chance vu son positionnement. A Ville d’Avray, l’arrivée du piano dans le hall d’entrée a ravi tous les adeptes de la musique, que ce soit ceux qui s’y essaient ou ceux qui le maîtrisent déjà plus. Les baby foots sont également un lieu de prédilection pour de nombreux étudiants.
Avez vous une dernière anecdote à nous raconter ou un message à faire passer à la communauté ?
L’association est, pour le moment, composée uniquement d’étudiants de l’IUT, ce qu’on déplore parfois : on aimerait avoir plus d’interactions avec le campus de Nanterre. Ainsi, n’hésitez pas à nous rejoindre : on a certes beaucoup de travail technique à proposer sur les robots, mais également de la communication ou du relationnel avec nos sponsors, ou encore de la trésorerie.
On vous propose de découvrir un match ! Ici (à 58'10) le 8ème de finale de la Coupe de France de Robotique 2019, remporté par notre team RCVA !
Un grand merci à Valentin et Lauriane d'avoir répondu aux questions de Point COMMUN et bravo pour votre implication au sein de votre association ! On espère que cette rentrée va vous amener de nombreux nouveaux et nouvelles dans la team RCVA !
Lauriane et Valentin : Bonjour, nous sommes Lauriane et Valentin, étudiants en 2e année de DUT GEII (Génie Électrique et Informatique Industrielle) à l’IUT de Ville d’Avray. Nous faisons partie de l’association RCVA depuis septembre 2018. Lauriane occupe le rôle de chargée de communication, là où Valentin s’est occupé d’une des cartes électroniques du robot. Nous avons également travaillés sur la programmation des robots.
Vous faites partie de l'association RCVA : pouvez-vous nous présenter l'association, son historique, son principe, ses activités tout au long de l'année ?
RCVA est l’acronyme de Robot Concept Ville d’Avray. Il s’agit d’une association créée en 1998, dont l’objectif chaque année est la réalisation de deux robots collaboratifs pour participer à des compétitions de renommée internationale : les Coupes d’Ile de France, de France (anciennement Coupe E=M6 de Robotique) et d’Europe de Robotique (nommée aussi Eurobot). L’association a été 14 fois Championne d’Europe et 10 fois Championne de France sur les 20 dernières années. Cette compétition repose sur un principe simple : réaliser le plus de points possibles en 100 secondes. Ces points se gagnent en faisant des actions imposées par le règlement, qui change d’année en année. Le terrain sur lesquels les robots concourent est symétrique : ainsi, deux équipes s’y affrontent, ce qui fait qu’on peut avoir jusqu’à 4 robots en simultané sur le terrain. Ceux-ci sont totalement autonomes et ne doivent en aucun cas se percuter ou se toucher. Au cours de l’année, il faut tout d’abord établir la stratégie pour répondre aux exigences du règlement, qu’on obtient généralement fin septembre, et construire un terrain conforme au règlement sur lequel les robots vont s'entraîner pour préparer la compétition. Il faut ensuite imaginer la mécanique des deux robots, et choisir les capteurs et actionneurs que l’on va utiliser, pour concevoir les cartes électroniques nécessaires au bon fonctionnement des robots. Enfin, il faut bien évidemment assembler les robots, et les programmer, ce qui peut prendre un temps considérable : il faut leur apprendre chaque action, mais aussi les faire enchaîner toutes ces actions dans des ordres différents, et pouvoir changer le déroulement du match au plein milieu de celui-ci : on ne sait jamais comment l’adversaire va se comporter, et si on ne peut pas s’adapter, cela peut entièrement ruiner un match ! Les robots étant autonomes et ne devant pas percuter leurs adversaires, il faut également implémenter de nombreux capteurs pour détecter l’adversaire : ceux-ci peuvent être des LiDAR (laser rotatif permettant la détection de l’environnement), des capteurs infrarouges, ultrasons, ou encore des capteurs laser. La partie compliquée n’est pas tant de les mettre dans le robot, mais plutôt de réfléchir à comment les utiliser à bon escient et savoir comment interpréter ce qu’ils nous renvoient. Comme les robots peuvent être gênés par les robots adverses, ces capteurs permettent aux robots de les contourner, mais cela nécessite un travail de réflexion assez conséquent. En parallèle, nous communiquons sur les réseaux sociaux nos avancements, et dialoguons avec diverses instances et entreprises qui nous sponsorisent.
Vous faites partie d'un tissu associatif très développé à l'Université. Comment travaillez-vous en lien avec les autres associations du campus et le Service Général de l'Action Culturelle et de l'Animation du Campus en charge de l'accompagnement des associations étudiantes ?
Étant sur le campus de Ville d’Avray, il peut être parfois compliqué d'interagir avec les autres associations de l’Université, de par la distance géographique. Néanmoins, nous interagissons fréquemment avec ADVEVA 92, qui se trouve également à Ville d’Avray, pour des questions techniques ou du partage de connaissances. Également, le SGACAC nous a bien aidés en début d’année en nous proposant une formation sur la recherche de sponsors et de subventions et sur le bon fonctionnement d’une association ; cela nous a permis d’éviter de nombreux écueils cette année et de résoudre des problèmes qu’on n’aurait probablement pas su résoudre sinon.
Qu'est-ce que cela vous apporte personnellement de faire partie de cette association, au niveau des compétences mais également de votre expérience universitaire ?
En entrant dans cette association, on y apprend à travailler en équipe, se partager les tâches, et mettre en commun nos idées. On apprend énormément en mécanique, en électronique et en informatique : ce sont les trois composantes des robots, et comme l’on innove chaque année, on se retrouve en permanence confronté à des nouvelles technologies ou à des technologies que l’on ne connaissait pas. C’est aussi là qu’on apprend à gérer une association : il y a beaucoup de tâches moins techniques, comme la communication externe, la recherche de sponsors et de subventions, la trésorerie etc… On n’y pense pas forcément, mais c’est une expérience très formatrice. Également, ça change l’expérience universitaire : là où on se considérait comme de simples élèves à l’IUT avant, on se sent beaucoup plus intégrés dans l’Université en participant à cette aventure.
Quelle est votre plus belle expérience au sein de l'association ?
La plus belle expérience est sans doute de voir nos robots évoluer sur le terrain pendant les matchs de la coupe de France. C’est à ce moment que l’on réalise tout le travail que nous avons accompli durant l’année. La première fois que les robots roulent est assez magique également : comme on refait intégralement les robots chaque année, c’est toujours satisfaisant de les voir rouler pour la première fois !
Votre association, habituée des podiums et récompenses, a récemment remporté le magnifique titre de vainqueur de la Coupe Île de France de robotique ! Comment se déroulent ce genre de compétitions, combien de personnes de l'association y participent ? Combien de temps à l'avance devez-vous vous préparer pour ce type d'échéances ?
Les Coupes de France et d’Europe se déroulent généralement pendant le weekend de l'Ascension, à la Roche-sur-Yon. On y attend entre 150 et 200 équipes françaises, et une trentaine d’équipes étrangères. Chaque équipe compte entre un et une quinzaine de membres, ce qui fait facilement plus de 1000 participants ! La compétition commence par l’homologation statique : les robots doivent répondre à des critères précis en terme de taille, de périmètre etc… Une fois cette homologation statique validée, il faut également passer l’homologation dynamique : cela consiste à prouver que l’on sait réaliser des tâches prévues par le règlement, et qu’on sait également détecter un adversaire et ne pas le percuter, voire s’arrêter en urgence s’il apparaît devant nous. Les équipes homologuées participent ensuite aux phases de poule, où l’on réalise cinq matchs répartis sur cinq demi-journées. Les 16 meilleures équipes peuvent passer sur les phases finales, et les deux finalistes de la Coupe de France sont qualifiées pour Eurobot, la Coupe d’Europe, où le schéma est le même qu’en Coupe de France (phases de poule, puis phases finales pour les 16 meilleurs…). La Coupe d’Ile de France se déroule à l’Electrolab de Nanterre sur un weekend. Il n’y a que 14 équipes y participant, mais elle se déroule comme la Coupe de France : phases de poule, puis phases finales, où les huits meilleures équipes s’affrontent. L’équipe RCVA se déplace aux trois événements : on est à la Roche-sur-Yon du mercredi au dimanche de l’Ascension, et on y travaille d’arrache-pied pour que tout fonctionne. On est également à Nanterre les deux jours de la Coupe d’Ile de France. Il est fréquent d’entendre à la Coupe qu’il manquait une ou deux semaines pour que telle chose fonctionne, et même pour les équipes s’y étant pris dès la sortie du réglement. Il faut donc travailler sur le projet en permanence entre la sortie du réglement, soit fin septembre, et la compétition, qui se déroule en mai.
Est-ce que tout le monde peut rejoindre votre association ou est-ce qu'il y a des prérequis ? Est-ce que l'on peut vous suivre sur les réseaux sociaux ou venir vous soutenir en compétition ?
Non, il n’y a pas de pré-requis, sinon une grande motivation ! C’est toujours mieux d’avoir un attrait pour la robotique, puisqu’on ne parle presque de ça, et que tout ce qu’on fait orbite autour de la robotique. Mais contrairement à ce que l’on peut penser, il n’y a pas besoin d’être un génie en programmation ou en électronique pour nous rejoindre, ni même d’avoir de grandes connaissances en robotique. L’intérêt est qu’il y a toujours quelque chose à apprendre, et le partage de connaissances est une valeur très forte dans l’association. Pour être au courant de ce que nous faisons, on vous conseille de nous suivre sur nos réseaux sociaux : Twitter, Facebook, Instagram, et Youtube. On y publie des actualités, des photos, des vidéos, et tous nos résultats en compétition. De même, bien que la Roche-sur-Yon soit quelque peu éloignée de Nanterre, il est possible de venir nous y soutenir ! Mais le plus simple reste de venir nous voir à la Coupe d’Ile de France, qui se déroule en juin à l’Electrolab de Nanterre.
Une petite question que l'on aime bien dans les interviews Point COMMUN : qu'est ce que vous préférez à l'Université Paris Nanterre ? Un lieu que vous appréciez particulièrement sur votre campus de Ville d'Avray ?
Bien que nous soyions à Ville d’Avray, nous sommes allés quelques fois sur le campus de Nanterre. La MDE est un lieu très convivial que nous apprécions, et les espaces verts de l’Université sont une véritable chance vu son positionnement. A Ville d’Avray, l’arrivée du piano dans le hall d’entrée a ravi tous les adeptes de la musique, que ce soit ceux qui s’y essaient ou ceux qui le maîtrisent déjà plus. Les baby foots sont également un lieu de prédilection pour de nombreux étudiants.
Avez vous une dernière anecdote à nous raconter ou un message à faire passer à la communauté ?
L’association est, pour le moment, composée uniquement d’étudiants de l’IUT, ce qu’on déplore parfois : on aimerait avoir plus d’interactions avec le campus de Nanterre. Ainsi, n’hésitez pas à nous rejoindre : on a certes beaucoup de travail technique à proposer sur les robots, mais également de la communication ou du relationnel avec nos sponsors, ou encore de la trésorerie.
On vous propose de découvrir un match ! Ici (à 58'10) le 8ème de finale de la Coupe de France de Robotique 2019, remporté par notre team RCVA !
Un grand merci à Valentin et Lauriane d'avoir répondu aux questions de Point COMMUN et bravo pour votre implication au sein de votre association ! On espère que cette rentrée va vous amener de nombreux nouveaux et nouvelles dans la team RCVA !
Mis à jour le 04 septembre 2019