Fête de la science 2020

 

Visites guidées des fresques de Street Art du Campus

Deux visites guidées ont été menées par Simon Grainville, jeune historien de l'art, commissaire d'exposition et rédacteur pour Urban Art Paris les 5 et 12 octobre derniers.
Simon Graiville met le street art et le graffiti en valeur au travers de la médiation.
Pour rappel, en 2018 à l’occasion du cinquantenaire de Mai 68, l’Université Paris Nanterre et le Louvre se sont associés pour mettre en place le projet « Sous le Street Art, le Louvre ». Huit artistes urbains ont alors réalisé d’immenses œuvres qui revisitent les collections du musée du Louvre.
Pour la fête de la science, l’Université Paris Nanterre a souhaité remettre à l’honneur ces fresques par le biais de visites commentées.



 

Les expositions du musée de l’immigration

Deux expositions prêtées par le musée de l'immigration ont été mises en place dans le hall du Pierre Grappin.

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• Frontières

Elles expriment des réalités historiques, géographiques et humaines très complexes, notamment en Europe.

L’exposition présente des clés de compréhension historiques et géopolitiques, dans un récit mêlant la grande histoire des migrations, la géographie des frontières, des témoignages de la traversée et le regard d’artistes contemporains.  

 

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• Ciao Italia !

Ciao Italia ! met en lumière l’apport de l’immigration italienne à la société et à la culture françaises.

Abordant la religion, la presse, l’éducation, les arts, la musique, le cinéma, les jeux et le sport, ou encore la gastronomie, elle donne à voir tous ces Italiens, ouvriers, mineurs, maçons, agriculteurs, artisans commerçants, artistes ou encore entrepreneurs qui ont fait la France depuis la seconde moitié du 19e siècle.
 

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Les projets réalisés par les étudiants de l'Université Paris Nanterre.

Interviews et Rencontres de chercheur.euse.s et d'étudiant.e.s - Vidéo / audio

• “Je cherche, tu creuses”: Les trésors cachés de la science à l’université

La fête de la science a été l'ocasion de lancer  le projet "Je cherche, tu creuses", une série de rencontres-interviews de chercheurs et d'étudiant-e-s du campus.
Ces intreviews sont disponibles ici.
Nous sommes partis d’un constat : les laboratoires de recherche sont nombreux sur le campus de l’université Paris Nanterre mais la plupart du temps méconnus des étudiants et du grand public. L’idée derrière ce projet est donc simple : emmener les étudiants à la rencontre des chercheurs du campus pour explorer ensemble leur spécialité, puis partager ces découvertes avec la communauté internet via une série d’entretiens filmés.
Comprendre le monde qui nous entoure est essentiel et une partie du travail de la recherche est justement de nous apporter un éclairage afin d’aiguiser notre regard et notre jugement, de combattre sans relâche les préjugés qui nous minent et de faire, encore et toujours, un pas vers l’autre, cet inconnu. Pour cela, oser dire « je ne sais pas », rester curieux et ouvert est une étape nécessaire. Les chercheurs ayant accepté notre invitation nous expliquent avec patience et pédagogie le contexte et les enjeux de leur travail. Merci à eux ! Quant à nous, continuons de creuser…

Retrouvez l'entretien avec Étienne Lafond du CEDIN, Centre de droit international de Nanterre (Université Paris Nanterre)
 

Le projet est mené par Romain Pichon-Sintes et les étudiants de l’atelier de création audiovisuelle La Forge du Pixel.
 

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Photographie et affiches autour d'une question - Exposition

• La question se pose

Une série d’affiches mêlant photographies et questions de science impertinentes
La série complète a été installée dans le hall du bâtiment Pierre Grappin, au restaurant universitaire, à la MDE, dans le hall du Maurice Allais et du Max Weber

À partir de photographies prises par les étudiants du Champ Magnétique (l’atelier photo du campus encadré par Romain Pichon-Sintes), nous avons réfléchi à des questions peu habituelles à poser à nos scientifiques. L’idée était ensuite de concevoir une série d’affiches assemblant les deux et conçues comme un clin d’œil amusé aux travaux d’un laboratoire du campus.
Le rapport entre les questions et les images, tantôt subjectif, anecdotique, ironique ou énigmatique est une autre façon d’inviter à « faire le lien », ce lien qui ne doit pas être rompu entre nous et la science sous prétexte que celle-ci avance parfois sur des terrains très spécifiques et techniques, loin de nos préoccupations quotidiennes. En réalité la recherche, même la plus spécialisée, nous touche directement et peut nous interpeller et nous mobiliser, si l’on veut bien prendre le temps d’en faire la pédagogie.
La présence des photos est là comme pour rappeler qu’il y a toujours une part de subjectivité lorsque l’on aborde un sujet nouveau. Ces interprétations inattendues, naïves et décomplexées, comme autant de façon de s’approprier un domaine de pensée, est aussi ce qui permet parfois à la science d’avancer dans des directions nouvelles

Pour celles et ceux qui n'auraient pas eu l'occasion de voir cette exposition, une galerie en ligne est disponible ici.